26.11.15
Les faux ways
Les camerounais et les faux ways vraiment, je ne vous dis même pas !
Je sors comme ceci de Twitter et je me suis dit qu’il fallait que je pose ma surprise ici. Comme c’est MON blog personne ne pourra venir me parler fort !
Le Cameroun et les camerounais ont accompli le joli exploit de mettre leur miss en n°3 des people choice de Miss World et c’est ? BIEN ! Parce qu’on sort de loin !
9.11.15
Merci, poupée
"Internet c’est pas la vraie vie !" qu’ils disent.
Il y a des gens comme ça qui vous inspirent, et qui vous marquent, dans la « vraie » vie, juste à travers leurs écrits, à travers leur « blog ».
Et si j’écris ces quelques mots c’est parce que je viens de lire le billet de Kandyzz sur sa première année de mariage. Mais laissez-moi vous replacer le contexte :
- - Je suis une fleur bleue, une disneyeuse, les mariages des autres me font rêver. D’ailleurs le blog de Kandyzz et de Wadji est une vraie merveille et j’ai adoré suivre (ok pas vraiment TOUS les préparatifs) leur parcours sur les internet, avec l’apothéose, les photos du d-day. J’étais à mille lieues d’imaginer par exemple que les magnifiques pots de confiture que Wadji avaient offerts à ses invités deviendraient une délicieuse aventure.
- - Je suis tombée sur l’article en lisant des tweets de Paola Audrey (je fais ma veille Paola laissez seulement), et même si le thème m’a interpellée, Paola l’a partagé suite à une série de tweets sur la psychothérapie et la dépression chez les noirs/africains. Donc je me suis dit qu’au-delà du côté « féerique » du mariage, l’article serait hyper intéressant.
- Donc voilà le contexte.
8.11.15
La petite cherchait le collage
C’est l’histoire d’une jeune fille, pas particulièrement belle, pas particulièrement douée et collégienne dans le meilleur établissement de la place.
C’est l’histoire donc de cette jeune fille qui fréquentait un établissement catholique et allait à la messe deux fois par semaine.
C’est l’histoire de cette jeune fille d’apparence bien en tout point, fille à maman/fille à papa.
La jeune fille de cette histoire est aussi « enfant de la barrière » puisqu’elle ne sort et ne se balade jamais.
Et pourtant…
L’établissement le plus strict peut aussi s’avérer être très cool, surtout à l’occasion de la fête de la jeunesse.
Non notre fille bien en tout point n’est pas restée chez elle. Elle est allée fêter avec ses camarades.
Mais elle était décemment vêtue (elle sortait de la maison de qui de toute façon ? ).
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