28.4.17

Entre folie et inspiration

Morgan Gray? Anna? Elles ont toutes les deux à un moment donné de leur vie fait vivre pleinement l'une de leurs multiples facettes parce que ce sont des artistes dans l'âme. Génération 80, elles en auront vu et vécu des choses ces deux là.

Elles sont toutes les deux belles et rebelles. Elles sont toutes les deux profondément dans l'abstrait et le concret (finance pour l'une, marketing pour l'autre).

Alors même si les ressemblances peuvent sembler nombreuses, elles ne sont pas amies. C'est pire, et tant pis pour elles (ça vient de beaucoup plus haut), elles sont sœurs. Sœurs de sang (sinon ce ne serait pas drôle), sœur de lieu de naissance, sœur de date de naissance et sœur de mains de naissance. Oui fille de gynécologue ou venir au monde grâce à la même gynécologue, c'est pareil.

Oui vous savez depuis la première phrase que je parle de mes deux grandes sœurs Mei et Keds. Ne rentrant dans aucune case, elles sont pour moi des exemples du genre de femmes qu'on doit être aujourd'hui : unapologetic.

31 ans déjà et quelle chance on a de vous avoir. Que cette 31e année vous apporte pleins de surprises parce que comme vous le savez, la routine c'est boring. Ça sera mon seul souhait officiel. Du reste, je suis toujours aussi fière d'être la sœur des belles personnes que vous êtes.

Joyeux anniversaire à mes jumelles préférées ❤️.

11.4.17

La souffrance et toi qui

Il y a cette phrase que j'aime répéter souvent qui est : je n'ai jamais souffert.

Quand ma mère a vraiment cru que j'avais triché ou récemment quand elle a cru que j'avais annoncé cette nouvelle premièrement à quelqu'un d'autre qu'elle ? Quand j'ai eu 10,0 au bac ou quand j'ai eu 3 de moyenne en année de médecine ? Quand la comorienne m'a traitée de tous les noms ou quand j'ai tardivement réalisé que Brice avait raison et qu'on doit prendre les gens comme ils sont ou les laissé ? J'ai eu le cœur qui a fait très mal et qui continue par moment de saigner pour certaines choses. Et pourtant ce sont des épreuves, je n'ai pas souffert, je n'ai jamais subi plus que ce que je ne pouvais supporter.

J'adore ce que je regarde dans la glace, et je suis fière d'être là où je suis aujourd'hui. Parce que malheureusement ce n'est pas donné. Ce n'est pas donné d'assumer son présent et son passé alors je vais m'adresser à toi.

Toi qui as bavé sur des profils toujours plus beaux sur LinkedIn, sache que tu as toujours été plus compétente, eux sont juste passés à l'action, au concret, bref sont sortis de l'écran.

Toi qui as des projets de fous mais qui sont encore méconnus chez nous et ne nourrissent pas leurs hommes ? Arrête de t'investir dans des plans C. Le plan B doit être et demeurer ta couverture, ton moment bonheur, ton moment épanouissement, le tout financé oui par un plan A. Mais jamais au grand jamais t'y ne tomberas dans quelque chose qui ne te nourrit bien, ni te passionne vraiment, au nom du devoir, du je dois sortir, du il faut bien. Never settle for less.

Toi qui vois l'âge comme un méchant rappel du temps qui passe et de ce que tu n'as pas fait, sais-tu combien de malades auraient voulu être à ta place ? Sais-tu qu'en se levant ce matin le soleil voulait t'éclairer toi ? Ce n'est pas facile mais quelqu'un qui vit dans le passé n'a pas le droit de jouir du présent. Le présent appartient à ceux qui l'embrassent, de toutes leurs forces. Eux, sont les élus.

Toi qui te sens mal/nul/faible et attends d'être relevée, on pourrait te relever, tant que ce qui est dans ta tête n'est pas passé, tu retrouveras la route qui mène aux nuages gris. Il faut créer un temple prêt à recevoir les bonnes paroles pour qu'elles soient efficaces.

Toi qui fais la danse bafia*, la rigueur et la constance doivent devenir tes meilleurs amis. Au lieu de gâcher les efforts, on apprend à les valoriser, notamment avec encore plus d'efforts, qu'ils ne sentent pas trop seuls ces braves gens (oui je personnifie les efforts).

Tu vois ce visage ? Tu vois ces mains ? La seule certitude est que tout y est pour trouver épanouissement et bonheur. Encore faudrait-il être un élève assidu et apprendre patiemment à les trouver.

Toi qui lis, partage, trop de gens ne savent pas, ne savent plus...

8.4.17

La belle et la bête façon Hollywood

Dès les premières secondes je frétille d'impatience. À quand remonte la dernière fois que j'ai vu le petit jingle Disney avec le château ? Trop longtemps. Mais oh, ce n'est pas le fameux château de la Belle au bois dormant mais celui de... La bête ?



Ce qui m'aura rendu la plus heureuse est sans aucun doute le fait que mes chansons préférées de la BO ont été gardées dans le film. Parce qu'en effet je suis la fille qui a un certain nombre de BO de films Disney sur son disque dur.

Mais revenons à nos moutons. Cette BO en plus d'être fidèle était originale. Ma chanson inédite préférée est celle que la bête chante au départ de Belle. (Le titre, Evermore est ici)

J'ai envie de vous dire que ce film est un délice, avec mon accent le plus Louis XVIe. Oui ils ont vraiment fait l'effort d' apporter beaucoup de France (pays de l'intrigue) dans le film. La mention spéciale va aux accents très francisés des voix anglaises.



Petite pause sur la bibliothèque de la bête. 
Est-ce possible d'avoir une salle aussi magnifique chez soi ? Est-ce possible de ne vivre que dans une salle de cinéma ou dans le rayon livres de la FNAC ?

Le papa de Belle, Maurice

Emma Watson a crevé l'écran de sa naturelle beauté et de son évidente gentillesse. Les voix des chanteurs étaient sublimes, et on a gardé le côté décontracté (notamment avec le père de Belle et l'excentrique LeFou) du monde Disney, malgré le sérieux de la malédiction qui pèse sur le château.

LeFou (Gay or not gay ? Don't care here !)

Aux grands disneyeurs, si ce n'est pas déjà fait, courez voir ce petit bijou. Aux autres, laissez-vous tenter, vous ne le regretterez pas.

N'hésitez pas à revenir me laisser un commentaire pour me dire ce que vous avez pensé du film.

xx,
HD

PS: Fans de Downton Abbey ? On retrouve notre cher Matthew Crawley, je veux dire Dan Stevens, ou plutôt devrais-je dire "La Bête", et il est toujours aussi charmant.

6.4.17

Un jeudi de merveilles


Cette journée a commencé comme toutes les autres : moi bagarrant avec ma couverture et mes différents réveils. Ensuite je recevais un technicien Orange. Ce fait, insignifiant pour vous, était pourtant énorme pour moi. Pour la première fois de ma vie, j'ai une box internet, et un décodeur tv, comme les grandes personnes.



Jusque là je payais le Wi-Fi plus ou moins stable de la résidence dans laquelle j'habite mais un événement m'a fait réaliser que j'aurais prochainement besoin de quelque chose de stable et de qualité. Donc pour la première fois, je me suis connectée à mon réseau.



Autre première du jour ? Je me suis acheté mon premier téléphone fixe. Oui une fois de plus c'est banal, et pourtant... C'était juste avant de faire ma première pose de semi-permanent de ma vie. Le tout ? Par une belle journée ensoleillée.


La jeune femme, qui s'est occupée de moi chez Body Minute, Natalia, est de ceux là qui irradient les lieux qu'ils traversent de rayons de bien-être.
En fait je ne sais pas trop comment conclure cet article. En rentrant chez moi, il y aura la soirée à thème 'Alice aux pays des merveilles' et je sais déjà que je vais bien manger et bien boire.


Être heureux, c'est dans les petites choses, et les dans les grandes choses. Et comme je ne le dis pas assez, être heureux c'est tout le temps, un jour à la fois.
Hopefully yours,
D.

5.4.17

Celles qui étaient cachées

J'ai regardé Hidden Figures et ce film m'a fait réfléchir.


Je me suis rappelée qu'à une époque de ma vie je voulais devenir médecin. Je me suis rappelée qu'à une époque de ma vie j'adorais les maths.
Je me suis rappelée qu'à une époque de ma vie je voulais être intelligente, non, un génie.

4.4.17

Ils vont tuer la musique urbaine camerounaise

Vous êtes camerounais ? Bienvenue à bord ! Team 237 represent everywhere we go !

Grace Decca, Richard Bona, André Marie Talla et de nombreux autres sont nos fiertés intemporelles. Mais on a grandi (nous génération 90) avec le bikutsi de Govinal, et le Makossa de Sergeo Polo ! Les plus bassa d'entre nous récitaient Bantu Po Si mais quoiqu'il en soit, Koppo nous a tous mis d'accord ! Puis rien ! On ne sait pas trop où sont passés nos chanteurs urbains.

Mais ça c'était avant. On est arrivé à une étape de cette belle musique urbaine où n'importe quel DJ pouvait animer toute une soirée avec les sons de chez nous ! Francophones, anglophones, dualaphone, neobendskineurs, les gos, les gars, ils sont tous venus sortir le son, ont remis des expressions au goût du jour, et produits de très beaux visuels. On n'avait plus à rougir de nos clips, on n'avait plus rien à envier à nos voisins naija, nous aussi on faisait le bon taf !

Et pourtant, aujourd'hui en 2017, force est de constater que les gars ont pris le pistolet et se sont tirés des balles dans le pied, seuls, comme des grandes personnes.

Les gars pensent qu'ils sont déjà arrivés ! Comme on récite les chansons des gars à Babi et à Loubev ils sont sûrs que non, la musique là c'est pour eux. On a tellement dit qu'on les aimait et qu'on les inviterait à nos mariages qu'ils ont vraiment cru qu'ils avaient fait mieux que se pa pou dat. Comme les gars prennent l'avion, décrochent les trophées sur le plan continental, et se font payer de gros cachets, ils ont oublié la vieille marmite ! Oui, vous savez, la vieille marmite dans laquelle on faisait les bons sons.

Les gars ont oublié qu'ils ne sont pas là où ils sont parce qu'ils sont plus forts que quelqu'un d'autre, ils sont là où ils sont parce qu'ils nous avaient servi des choses inédites, de qualité, qui nous donnaient envie de marquer "#Team237" partout.

Achombo House. Kumba Market. Kemayo. Je suis bolè. Kossa Moi ça. Ca$h. Hein Père. Trowey. Ça sort comme ça sort. Comme Moundi. Whatsapp. KDT. Ndutu. Coller La petite. Chakara. Kaki Mbere. Ancien Combattant. E go beta. Babaah. Wule Bang bang. Mboa Girl. Chop No Dey. Sponsor. Bennam. Pyromanes. This Life. Jackpot. Rastafari. Fap Kolo.

Voilà les titres auxquels je pense, one shot ! Je pourrais remplir l'article de titres, et vous aussi, mais vous avez compris, les gars nous ont fait de belles choses ! Et les marques avaient même compris leur importance, à l'époque déjà Krotal (il me semble que c'est lui) et MTN déjà avaient collaboré.

Il y a quelques années ce même MTN remettait le couvert avec un festival qui faisait la part belle à cette musique urbaine. Depuis, l'annuel Douala Hip-Hop Festival essaie de faire le travail. Je dis "essaie" parce que finalement ce n'est pas à eux de le faire ! Et comme tout bon camerounais qui se respecte, je ne peux pas ne pas taper sur les fonctionnaires ! Que fait le ministère de la culture pour soutenir cette nouvelle scène ? Que font les grands groupes pour accompagner voir créer des choses ? Mais surtout que font les artistes ?

Arrêtez d'acheter les vues, on vous voit !
Arrêtez de chanter la même chose, on en a marre !
Arrêtez de manquer de respect à vos fans !
Arrêtez de ne pas faire d'albums !
Arrêtez de vous entourer des mauvaises personnes !
Arrêtez de ne pas être consistants !
Arrêtez de tout tester !
Arrêtez de vous éloigner de ce pourquoi on vous a tant aimé

Nous on est là, on veut vous soutenir, on peut vous soutenir, mais on dirait que le vent qui soufflait dans votre sens faiblit dangereusement.

Aujourd'hui, le seul et unique label qui fait les choses, de A à Z, vous le connaissez, je ne vais même pas le nommer ! Ils ont DES artistes, DES projets (peut-être même trop), DES visuels, bref hein, tous les jours je bow down.

Et pourtant j'ai mal en écrivant ces mots. Il y a trop d'artistes 237 que j'aime. En fait je les aime tous, et j'ai beaucoup de respect pour tout ce qu'ils ont fait jusqu'à aujourd'hui. Mais on ne peut pas (s')investir dans une industrie qui ne s'aide pas elle-même.

Parce que si on devait arrêter les compteurs aujourd'hui, vous pouvez être sûrs que dans 20 ans, nous génération 90, nous chanterions toujours "associé" et "you must calculer", mais pas forcément vos titres.

Let's do better !
Avant que...
Bref. C'était moi.

HD

3.4.17

Sheru, the Lion


Chers lecteurs,

Ce soir j'ai vu le film 'Lion' au cinéma et j'avais complètement oublié que c'était le titre du film, jusqu'à la fin de celui-ci. Et pourtant ce mot, lion, apparaît alors comme une évidence. Le fait de savoir que c'est une histoire vraie donne une tournure particulière à la fin du film et je m'arrêterai là pour ne pas spoiler.



Je n'assume pas l'état dans lequel j'étais en sortant du cinéma, heureusement j'ai rencontré K, autre adepte du cinéma en solo. Mais me voici prête à replonger dans ce que ce film a provoqué en moi. Je me suis demandée en sortant de là si j'étais orpheline de père et de mère, si je n'avais aucun frère, aucune sœur. Le mot famille avait un tout nouveau sens.

Qui sont les membres de notre famille ? Ceux qui ont le même sang que nous ou ceux qui nous connaissent mieux que nous ? 

Peut-on décemment être heureux en sachant que quelque part, quelqu'un dont on partage le sang est malheureux ? 

A-t-on le droit de devenir orgueilleux lorsqu'on parle de nos proches alors que finalement mère nature a juste été assez bonne pour nous les prêter ? 

Est-on la meilleure personne qu'on peut être compte tenu des cartes qu'on a en main ?

Ça fait beaucoup de questions. Et malheureusement je n'ai aucune réponse. Juste le souvenir des larmes chaudes. Juste l'impression de vouloir disparaître. Parce que cette vie si belle qu'est la mienne, j'en viens à me demander si je la mérite.

Lion.

La belle histoire de Saroo, le petit-frère de Guddu, vous devez l'entendre.


Hopefully yours,

D.

2.4.17

Mon frère est toujours autiste.

Avril rime avec poisson d'avril pour certains, avec autisme pour d'autres.

Non malheureusement si vous êtes nouveaux ici je ne vous rappellerai pas ce qu'est l'autisme. Mais vous pouvez toujours lire mon humble explication ici. Les autres, continuons.

Vous savez l'amour que je porte à mes proches. Vous savez aussi (je le racontais ici) que j'ai le prénom et le nom de ma grand-mère, et mon frère le prénom et le nom de notre grand-père, ce qui fait de mon frère mon mari. Il s'agit d'un heureux foyer monogame (n'écoutez pas ce que mes deux autres cousines du même prénom que moi diront).

Et pourtant je ne sais pas ce que mon frère a mangé depuis Août. Je ne sais pas s'il est tombé malade ces derniers mois. Je ne sais rien du quotidien de mon frère. Comment dormir sur mes deux oreilles alors ? Eh bien, il a la mère qu'il a alors le risque est minime. Oui. Tant qu'elle sera en vie, tout ira bien pour lui. Et pourtant si deux choses sont sûres, c'est que mon frère sera toujours autiste et que ma mère... Disons que ma mère n'est pas (encore ?) omnipotente.

Alors il faudra bien que je reprenne ma place d'épouse qui a trop souvent laissé sa belle-mère tout faire. Serais-je à la hauteur ? Non. C'est une évidence. Je suis moi-même trop incomplète. Mais est-ce qu'il aura toujours ce qu'il faut ? Tant que je vivrai et que je serai apte à travailler, oui.

Parce qu'on n'a jamais choisi l'autisme. D'autres l'auraient même avorté. C'est l'autisme qui nous a choisis et on fait avec. 

Mon vœu le plus cher est que mon grand frère développe une certaine autonomie. Malheureusement, as it takes two to tango, it takes a lot to implement things, to review them, keep an permanent eye on them, etc. And personally I didn't make the choice in my life to be my brother's "ton pied mon pied".



2017. Here's where I am. Already dreaming about this new home and this second bedroom with "M&L" on the door. A second bedroom for big bro and lil sis so that they always know that wherever we are, there's always a place for them in my house.

Future. Futur. Incertitudes.
                          Certitudes. Présent.
                                             L'aimer follement de loin.
                                                           Préparer le pire.
Rêver d'une vie épanouie pour mon frère.
               La vie... Celle qu'on nous a imposée.
                              Et.
                                  Ce qu'on en a fait.


Debora.
Toujours la petite sœur de Luco.

1.4.17

L'histoire du boudin noir aux pommes

C'est un peu un attrape-clic que d'appeler cet article l'histoire du boudin noir aux pommes puisque je ne me rappelle même pas de l'histoire.



J'ai beau cherché, je n'arrive pas à me rappeler où précisément et quand est-ce que j'ai mangé ce plat pour la première fois. La seule chose que je sais c'est que j'ai adoré et quand c'était proposé au RU à Nantes je fonçais dessus, même si je les trouvais un peu avares en pommes.

Il y a quelques jours, j'ai voulu tout reprendre en main. Alors il y a encore une lessive que je dois faire tourner (faute de monnaie) et des marmites qui me regardent, mais je me suis reprise en main. Je me force à nettoyer directement après avoir mangé. Je prépare toutes mes affaires avant de me coucher. Je plie et range directement tous les vêtements. Parce que je suis quelqu'un qui reporte à plus tard les tâches ménagères. Ce manque d'organisation qui ne touche heureusement que mes 16m² me fait perdre beaucoup de temps (évidemment), et me fait me retrouver le week-end en me demandant ce que je vais manger, parce que j'ai vécu au jour le jour.


En rangeant donc, j'ai décidé que mes livres de cuisine allaient m'aider à choisir mes plats du week-end, à faire les courses avant le week-end et à cuisiner ce qui me faisait plaisir. C'est ainsi qu'en feuilletant, je suis tombée sur cette recette de boudin noir que de vous à moi je n'ai pas regardé tellement c'est simple.



- Il faut découper ses pommes et les faire revenir à la poêle avec du beurre salé.
- Il faut faire cuire à feu moyen ses boudins sur une poêle , et voilà tout est fait !



Mes conseils ?
* Rajouter des gouttes de citron sur les pommes pour qu'elles gardent leur belle couleur.
* Prendre le temps de faire cuire ses boudins et les piquer avant parce que si on est pressée comme moi , ça cuit trop vite, et ça "déborde". Pour les jolies photo, on repasse alors.

Ce qu'il y avait de beau et de bon dans ce plat, c'est qu'il m'a rappelé mes magnifiques années nantaises. Et il m'a permis de me rappeler à quel point la pomme cuite (surtout accompagnée de beurre salé) était délicieuse. Il en faut peu pour mettre de l'ordre dans sa vie, économiser quelques pièces ou retourner dans le passé. Mais surtout, il en faut peu pour être heureuse.

Sur ce, je vous dis bon appétit !

Hopefully yours,

Deb