Se détacher

Je n’aime vraiment pas la tournure carnet de bord que prend ce blog mais c’est plus fort que moi.

En mon sens, la mère a un rôle très particulier dans la vie de tout un chacun. Quelque soient ses croyances, ses sensibilités, on admet tous cette vérité sacrée :  la femme est la mère de l’humanité. C’est un fait.

Ainsi, notre première relation intime est celle entretenue avec notre mère. Pour ma part, j’ai 21 ans plus tard, du mal à me défaire de cette relation. Vivre dans une famille monoparentale a encore plus cimenté cette relation pour le meilleur comme pour le pire.

Les (non) limites du 2.0

Instagram, twitter, Facebook constituent des miroirs en apparence tellement clairs de la vie de certaines personnes qu'on oublie des fois que c'est le virtuel.
Combien de fois avez-vous rencontrer pour de vrai des connaissances/followers/followés des RS avec cette impression double de parfaitement les connaître et d'être des parfaits inconnus ?

Dans cette configuration là, c'est vrai qu'on ne sait pas trop comment se placer. Pour ma part en tout cas, quand je croise quelqu'un que je suis sur les réseaux, j'essaye de faire un hello. En effet à quoi ça sert de suivre minutieusement les actualités de personnes qu'on est incapable de saluer ? Pour moi, il n'y a pas pure hypocrisie.

Par ailleurs internet est un vaste chantier ! Pourquoi chantier ? Parce que je pense que les gens prennent encore conscience de tout ce qu'on peut faire grâce à internet.

Demi Los Angeles sans loisirs

Demi Los Angeles = DLA = Douala

La recherche de loisirs pour un jeune de Douala relève véritablement du parcours du combattant.

On pourra bien critiquer le fait qu'ils brûlent des sous en boîte de nuit (ce dont je parlais ici) , mais qu'ont-ils d'autre comme distractions ? 

Depuis 2009, la ville de Douala est privée de salle de cinéma. Quel est le jeune de douala qui ne se rappelle pas des fameux papapapapara sur swelaba FM 105 , quand l'animateur présentait les résumés des films à voir au Cinéma le Wouri ? C'était vraiment la belle époque.

Il y a les journalistes et Olivier Ndzana

Récemment, je n'ai pas porté les journalistes dans mon cœur. De toute façon j'ai toujours beaucoup de choses à leur reprocher alors... Lorsque j'étais dans l'Ouest du Cameroun avec ma tata le mois dernier, on a eu un échange assez intéressant. Un groupe pensait que ça ne servait à rien de mêler les journalistes à des événements pourtant humanitaires parce que ceux-ci demandaient toujours beaucoup d'argent pour relayer l'information alors que cet argent pourrait servir à faire plus d’œuvres sociales. Les journalistes eux de leur côté estimaient que certains de leurs confrères abusaient en effet souvent, mais que l'argent qu'ils demandaient était des fois pour couvrir leur voyage. En effet, quand ils ne sont pas envoyés par leur organe de presse, ils n'ont pas d'argent pour "fonctionner", soit ! Je peux vous garantir que jusqu'à très récemment on avait toujours pas de nouvelles des dits journalistes (ni de leurs articles donc) à qui on avait pourtant donné ce qu'il fallait (en toute transparence) pour couvrir médiatiquement notre déplacement.

Voilà donc pourquoi ces temps-ci je ne suis pas très "pro journalistes". Et pourtant lundi dernier, quand j'ai appris la mort d'Olivier Ndzana, décès survenu le vendredi 29 août à l’hôpital militaire de Douala, je n'ai pas voulu y croire.

Bon vent !

People always leave. For sure. Make sure not to feel too comfortable with them  because the goodbye time is never that far. This is what the hopeless girl in me think. But let’s read what is in the mind of the hopeful girl in me.

“Je pars pour 2 ans au Canada”. Pourquoi ? Comment ? Après les questions, les réponses plus ou moins comprises, le refoulement de larmes, vient le temps de la réflexion et du concret. Pourquoi serait-ce une mauvaise nouvelle ?

Tiens bon !

Le livre « Tiens bon ! » par le Professeur Marcel Rufo, pédopsychiatre, est une œuvre que j’avais achetée à une époque où je cherchais à lire des choses en rapport avec la psychologie chez les jeunes présentant des problèmes.

Je me suis dirigée dans le rayon correspondant à la Fnac, j’ai cherché et j’ai trouvé. Le titre me plaisait, la longueur de l’œuvre (moins de 150 pages) aussi. Le prix (5€60 , Le Livre de Poche) a aidé aussi sûrement.

Hello september

Lundi 1er septembre.

Je rentre en France ce soir et ma rentrée c'est vendredi.

Cette année je suis en MASTER, wow ! J'aurai plus qu'intérêt à arrêter l'apeupréisme scolaire (ça fait longemps que je dis ça).