25.5.15

You the liar !


Tu as dit que tu serais là pour moi et que sur toi je pouvais compter. LIAR

Tu as dit que tu étais là, partout, et tout le temps. LIAR

Tu as dit que tu si tu "ne ressentais rien" pour moi tu ne serais pas là. LIAR

Tu m'as demandé de te regarder dans les yeux et de te dire ce qui n'allait pas. LIAR.

Tu m'as suppliée d'arrêter de pleurer, et m'as doucement consolée.

Mais mince. C'est là que je devrais dire Liar.


Et puis mince, cet article ne prend pas le tournant prévu.

Je voulais enchaîner des "LIAR". Je voulais poursuivre avec des insultes. J'allais conclure sur le fait que vaut mieux perdre son temps seule, que de t'avoir soi-disant dans les parages.


Mais je ne peux pas. Je ne peux pas écrire ça parce que ce n'est pas la vérité.

Je ne peux pas écrire ça parce que je t'ai apprécié bien avant qu'on écrive cette histoire.

Je ne peux pas écrire ça parce que je me détesterais ensuite plus que tout.

Je ne peux pas écrire ça parce que quitte à ce que tu me lises autant que tu lises la vérité.

Je ne peux pas écrire ça parce que je t'aime pour tout ce qu'il y a de bien chez toi.

Je ne peux pas écrire ça parce que je te respecte encore plus, t'admire encore plus, et suis plus que jamais ta plus grande fan.

Je ne peux pas écrire ça parce que j'aime la femme ambitieuse, entreprenante, rigoureuse, organisée, déterminée et simplement belle que je suis quand tu es à mes côtés.

Je ne peux pas écrire ça parce que si je dois être parfaitement heureuse en ce bas monde, ne serait-ce qu'un instant, ce devrait être avec toi.


"I love You." Au moins ça tu ne me l'as jamais dit et je ne peux ainsi pas te traiter de LIAR !


Voilà que j'achève ces lignes, les larmes ont séché, et une fois encore, je ne sais plus trop où est la réalité.

Je ne sais plus si je t'écris ou si je m'écris. Je ne sais plus si je suis heureuse sans toi ou si je me languis loin de toi. Je ne sais plus si je reste ou si je pars. Je ne sais plus si ce texte m'enfonce ou si c'est un bol d'air frais.

Non tout ce que je sais c'est que je t'aime mais... Je ne suis pas plus avancée.


Signé, un coeur qui saigne.

1 commentaire:

  1. La tristesse est inévitable, mais la souffrance est optionnelle. Ton coeur saigne mais je sais avec certitude qu'il finira inévitablement par guérir car comme disait Rabelais, "les joyeux guérissent toujours." :)

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Hey ! Ne sois pas timide, exprime-toi.