21.4.18
They know better
15.4.18
Touchdown ou le bouillon
19.6.17
La mort de Hopeful Deb - Le blog
Ceci n'est pas le dernier article de mon blog. Pas encore.
Quelque part, une voix a crié "arrêtons le blogging" et cette voix là a crié tellement fort que l'écho est parvenu jusqu'à moi. Alors je me suis posée la question à mon tour, comme la petite voix : et si on arrêtait le blogging ?
Mes articles cumulent une trentaine de vues en moyenne donc je n'ai pas ce qu'on appelle un blog populaire. Et je ne vais pas non plus filtrer sur mes articles qui ont le mieux marché. Camerounaise ne doit pas me décrire ici. Loveuse non plus. Ça sortait comme ça sortait, en restant hopeful, à quelques exceptions près.
Alors oui je me demande pourquoi ne pas arrêter. J'envoie des mots chaque lundi à ceux qui veulent, c'est déjà bien.
Le seul et unique problème est que j'écris comme je respire donc qu'est-ce que je ferais des brouillons ou des idées qui n'ont pas eu le temps d'être écrites ? Ces écrits et ces pensées seraient ailleurs. Je ne fermerai pas le blog, c'est moi. Il sera toujours sur la toile. Le vlogging ? Je ne sais pas.
Alors voilà, à chaud je vous livre les pensées qui m'animent.
Peut-être que Hopeful Deb le blog... Peut-être que c'est bientôt la fin.
8.6.17
Un pas en arrière, dix pas en avant
Parce que je n'ai pas le choix, parce que c'est chiant de stagner, parce qu'on ne m'a pas mis au monde
pour faire autrement, etc.
Quand on sait donc que reculer ou que stagner n'est pas une option, ça donne des moments très comiques. Par exemple quand on se sent trahie, on n'a même pas le temps de digérer. On a juste le temps d'écrire et de passe à autre chose, Parce que pour le moindre truc négatif, il ne faut pas un truc positif pour se consoler et/ou oublier, il en faut dix ! Vous voyez donc qu'on a plus intérêt à retourner chercher les choses positives.
Je suis vraiment fière de cet état d'esprit. Ainsi je mets à la face de tous ce qui me fait mal, je le soulève un peu comme Rafiki avait soulevé Simba, pour mieux le laisser tomber et passer à autre chose. Je danse sur mes peines, je chante mes tristesses, et je remercie quelqu'un là-haut pour les épreuves qui me permettent de voir à quel point la vie est belle et à quel point ces soucis peuvent se montrer insignifiants.
Pendant longtemps j'ai cru que mon rôle sur terre était de partager l'amour, d'aimer mon prochain, toussa toussa. Aujourd'hui je sais que mon rôle est de prendre soin de moi, de chercher tout le temps le bonheur, et c'est seulement à ce moment-là, éventuellement, que je pourrais share the love !
Ecrire cet article, est le deuxième pas en avant ! Le premier pas en avant c'était réaliser que j'avais fait un pas en arrière, que l'ennemi (LOL) m'avait rendu triste, m'avait porté un coup au moral. Pourtant je vais très bien terminer ma journée parce que personne d'autre que moi ne peut dicter mes émotions. Grandir c'est devenir maître de sa vie, de ses émotions, et j'ai beaucoup grandi.
2017, quelle autre année bénie des cieux !
Take care,
Hd